đź“ş Peut-on filmer la Shoah ?

Les fictions cinĂ©matographiques reprĂ©sentant la Shoah ont longtemps fait couler beaucoup d’encre. De Jacques Rivette Ă  Serge Daney, en passant Ă©videmment par Claude Lanzmann, nombreux sont les critiques et cinĂ©astes Ă  avoir dĂ©noncĂ© un usage immoral de cet Ă©vènement. Toutefois, un film semble pourtant avoir fait l’unanimitĂ© chez les critiques comme chez les historiens : il s’agit du « Fils de SaĂĽl » du cinĂ©aste hongrois LászlĂł Nemes.

Ce film dramatique au succès indĂ©niable, puisqu’il s’est vu remettre le Grand prix du Festival de Cannes en 2015, et l’Oscar du meilleur film Ă©tranger en 2016, dĂ©peint la vie d’une prisonnier juif hongrois du camp d’Auschwitz-Birkenau.

Aujourd’hui, tâchons de comprendre pourquoi et surtout comment ce long métrage a-t-il pu convaincre les critiques les plus réticentes au sujet des représentations de la Shoah au cinéma.



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